Paris, sa grise indifférence et tous ses visages froids me troublent la vue.
Je cherche à éclaircir mes visions.
Direction, le Sud.
Marseille m’arrête et solarise ma rétine.
Sa mosaïque lumineuse m’ouvre la Méditerranée.
Encore le Sud.
En face,Alger la blanche comme on dit en France, mais surtout vivante, vibrante et vivi ante.
Ici les visages chantent et la voix réchauffe.
Toujours plus au Sud.
La mer, la route, les montagnes, les rencontres dé lent.
Ghardaïa, la cité ocre se dresse à anc de désert, teintée de lueurs irradiantes et de regards solaires.
France, Algérie. Ailleurs, ici
Allé, venu D’une rive à l’autre
Quête solaire dans des eaux troubles
Les terres cousines se rassemblent, ressemblent, dissemblent Carrefours des trajets
Intersections des traces Transes des sud.